lundi 4 septembre 2006

Break en contrée dijonnaise

Mes chers compatriotes,
ce n’est pas sans émotion que je viens de poser à nouveau le pied sur ma chère terre après ces quelques semaines mouvementées à Paris (dodo, jeux vidéos, lecture, se remplir la panse de pates, télé, shopping…) afin de prendre des nouvelles de la fac qui ronfle depuis 3 mois.
Comme d’habitude, aucune info: ni sur la rentrée, ni sur les dossiers, tout va bien, plongés dans l’incertitude les vacances sont plus confortables. J’ai pourtant appelé 3 fois ce matin mais je suis tombée sur le répondeur. Quoi? Faut quand même prendre un café et raconter ses problèmes à l’ensemble des collègues, ne pas mettre à jour le site internet de la fac, se tourner les pouces, bref pas le temps de répondre aux questions légitimes des étudiants.

Voilà pour eux, hop ça, c’est fait.

Autrement, j’ai oublié mon portable sur la banquette arrière d’une voiture donc si vous cherchez à me joindre, fidèles lecteurs, ça va être chaud.
Je me suis dit que perdre cet outil essentiel mettrait un peu de piquant dans mes vacances.
Voilà donc je suis de retour, je repars dans quelques jours, je lis des bouquins sur la Peste Noire de 1348 qui a décimé l’Europe, j’ai un volume incroyable dans mes cheveux, et j’ignore si je rentre à la fac et si oui, quand.
Amen.

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