Bon voilà j'ai juré que j'en parlerai pas, mais c'est lundi et là, j'ai la "trouille" comme disait l'horrible chirurgien qui un jour m'avait secoué mon bras mort.
Il avait beuglé : "C'est pas cassé ! c'est juste la trouille!". Connard. Six mois après j'ai encore mal de temps en temps, la faute à un méga-gigantesque hématome interne qui partait de mon avant-bras jusqu'à je sais plus où.
Bref. J'ai la trouille. Vous allez me dire, y a pire dans la vie (quoi que la plupart d'entre vous, vous ne savez pas de quoi je parle, c'est normal), oui mais bon, quand même. Si jamais... hein, je vais faire quoi de ma vie professionnelle?
Restons calme, plusieurs choix s'offrent à moi :
1) Faire une thèse sur le procès pénal dans la société yéménite du 18eme siècle.
2) Me vautrer dans un canapé pour le reste de mes jours, avec des bouteilles de Macvin (mon péché mignon) et tous les bouquins pour filles existant sur la terre.
J'aurai plus qu'à sombrer dans un romantisme teinté d'alcool qui m'abrutira et me déconnectera de la société qui d'ailleurs économiquement, va mal. C'est pas moi qui le dit, c'est Canal.
3) Passer des concours administratifs.
J'en ris d'avance. Je vois déjà la cage à lapin qui me servira de bureau, dans un immense complexe bétonné des années 70, au 10ème étage avec une fenêtre qui ne s'ouvre pas. Mes collègues me détesteront car je refuserai d'aller à leurs séances de Karaoké le samedi soir et je mangerai seule à la cantine, des épinards surgelés.
Oui, j'en fais trop. Je ferais mieux d'aller me faire un petit cas pratique.
Votre dévouée, qui pense sérieusement à demander une contribution financière à ses lecteurs afin de financer son train de vie et ses paires de chaussures.
1 commentaire:
Good Luck pour demain et pour toute la semaine!
Bises
Sandrine
Enregistrer un commentaire